C'est lorsque mes yeux se ferment, que je me l'avoue...je t'aime,
Tourner, tournoyer, sourire, rire...c'est quand on est poussé dans nos derniers retranchements que notre vraie nature se révèle. Mes yeux lourds et le coeur léger, un à un tes yeux m'ont dépossédé de mes mots. Sourire après sourire, tu as réanimé l'Invisible...et la mélodie a reprit de plus belle, chanson dont chaque note semble désormais t'appartenir.
Comme une feuille morte je suis tombé sous la fatigue, à mon réveil, j'étais ce flocon fondant sur le creux de ta main...
Regarde doucement sa peau rougir,
Ne vois-tu pas que tu es la cause
Du plus beau de ses plaisirs ?
Tu étais secrètement attendue,
Toi dont les caresses grandioses
Seraient Délivrance d'un Hiver ardu.
Comme dernier souvenir, laisse lui
Pour une fois valser autour de toi...
Un avant gout de ce qu'est le paradis.
J'aime^^
Ce soir j'écoute du hockey dans un bar... ça manque de poésie, mais faut bien d'abrutir pour savourer ensuite un peu de qualité dans ce bas mooonde!
Allez, passe une bonne soirée!
Tigrou.